Enquête réalisée par Harris Interactive en ligne du 1er au 3 juin 2021. Échantillon de 1 008 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle, région et taille d’agglomération de l’interviewé(e).
Paris, le 15 juin,
À la demande de l’Autorité Nationale des Jeux, Harris Interactive a interrogé un échantillon représentatif de la population française en amont de l’Euro 2020 qui aura lieu en juin et juillet prochains.
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Que retenir de cette enquête ?
- La moitié des Français déclare avoir l’intention de suivre l’Euro 2020 (48%), une proportion similaire à celle mesurée en amont de la dernière Coupe du Monde. Les hommes et les Français âgés de moins de 50 ans manifestent particulièrement une intention de suivre la compétition (une sociologie logiquement proche de celle des amateurs de football en général).
- Si près de la moitié des personnes qui comptent suivre l’Euro envisagent de parier amicalement avec leurs proches (49%), ils sont également un tiers à avoir l’intention de parier de l’argent sur les rencontres (31%). Y compris parmi les Français qui suivront la compétition, ce sont les 25-49 ans et les hommes qui ont le plus l’intention d’avoir ce type de pratiques. Et dans le détail, ceux qui pensent parier envisagent de le faire sur des sites et applications de paris sportifs pour 63% d’entre eux et en point de vente pour 56%.
- Les risques d’addiction et de dépendance associés aux paris sportifs sont identifiés par plus de 8 Français sur 10, et par une proportion similaire auprès de ceux qui comptent suivre ou parier de l’argent durant l’Euro. En revanche, ces derniers y voient davantage que les autres une façon de rendre les matchs plus excitants et, dans une moindre mesure, un moyen de gagner de l’argent.
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