Enquête réalisée en ligne du 15 au 17 novembre 2022. Échantillon de 1042 personnes représentatif des Français âgés de 18 ans et plus. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle, région et taille d’agglomération de l’interviewé(e).
Paris, le 6 décembre,
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Que retenir de cette enquête ?
- La moitié des Français se déclarent engagés dans une association ou une organisation à but non lucratif (49%), que ce soit par le biais de dons ou d’actions bénévoles, 18% cumulant même les deux formes d’engagements.
- Pour ceux n’étant pas engagés, les raisons les plus mobilisées pour le justifier sont le manque de temps pour le bénévolat et le manque de moyens financiers en ce qui concerne les dons, les autres arguments (manque de connaissance du système, manque d’intérêt, etc.) étant cités beaucoup plus à la marge. On observe également une certaine méfiance vis-à-vis de la manière dont ces dons sont utilisés par les associations chez une certaine partie d’entre eux.
- L’engagement local et l’engagement national semblent être aussi importants l’un que l’autre aux yeux des Français. Aucune des deux formes d’engagement ne se détache particulièrement, que ce soit chez ceux qui s’engagent déjà ou chez ceux qui pourraient envisager de le faire à l’avenir. On note tout de même quelques différences selon la nature de l’engagement : ceux qui font uniquement des dons soutiennent davantage des organisations nationales quand ceux qui font uniquement du bénévolat sont généralement plus engagés au local.
- Au national, de nombreuses associations pourraient susciter des formes d’engagement de la part des Français, avec un bénéfice à celles qui sont aujourd’hui parmi les mieux connues, comme les Restos du Cœur, la SPA, la Croix rouge française ou la Ligue contre le cancer.
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