Enquête réalisée en ligne du 09 au 15 février 2017. Échantillon de 1 000 personnes, représentatif des étudiants dans l’enseignement supérieur en France. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, le cursus suivi par l’étudiant et la catégorie socioprofessionnelle des parents.
Sodexo a sollicité Harris Interactive pour réaliser une enquête auprès d’étudiants de l’enseignement supérieur en France afin de connaître leurs attentes pour dessiner le campus de demain. En effet, depuis août 2016, Sodexo est partenaire du nouveau campus de l’EM Lyon Business School à Paris, et cherche à évaluer ses différents services pour être force de proposition quant à l’aménagement ou l’amélioration des campus français.
Ainsi, comment les différents services de qualité de vie contribuent à valoriser l’image des établissements ? Quel est le degré de satisfaction des étudiants vis-à-vis de leur campus ? Quelles sont leurs attentes pour l’avenir ? Comment imaginent-ils le campus de demain ?
Que retenir de cette enquête ?
- 48% des étudiants jugent la France « plutôt en retard » par rapport à d’autres pays en termes d’équipements et de services mis à leur disposition dans les établissements.
- Les étudiants dans l’enseignement supérieur français se montrent moins satisfaits des services proposés sur les Campus (64% satisfaits en moyenne) que de l’offre académique (81% satisfaits en moyenne).
- 75% des étudiants jugent prioritaire de disposer d’un service de mise en relation entre eux. Invités à citer leurs lieux de prédilection au sein de leur campus, ils citent d’ailleurs principalement des lieux de vie collectifs: bibliothèque, cafétéria et salle de repos.

- Si les aspects pédagogiques demeurent bien entendu très importants, les étudiants projettent donc dans le campus de demain un lieu de vie collectif à part entière, doté d’infrastructures et de services « connectés ».
- Enfin, 61% des étudiants jugent prioritaire de développer les groupes de travail dans des entreprises. Une aspiration qui est sans doute liée à une confiance limitée dans leur capacité à s’insérer sur le marché du travail: seulement 19% sont « très confiants à ce sujet », tandis que plus d’un étudiant sur quatre ne se déclare « pas confiant ».
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