La perception de la qualité de l’air intérieur en France, aux États-Unis, en Allemagne et au Royaume-Uni
Sondage Harris Interactive pour Netatmo
Enquête réalisée en ligne du 15 au 21 octobre 2013 auprès d’échantillons représentatifs des habitants âgés de 18 ans et plus en France, en Allemagne, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis : échantillons de 500 individus dans les pays européens et de 1 000 individus aux États-Unis. Méthode des quotas et redressement appliquée aux variables suivantes : sexe, âge, région d’habitation ainsi que catégorie socioprofessionnelle de l’enquêté (pour la France) ou niveau de revenus (pour les autres pays).
Paris, le 26 Novembre 2013 – Alors que les études scientifiques se multiplient sur les effets de la pollution sur la santé et que les autorités comme les médias s’inquiètent de plus en plus de ces questions à l’international, Netatmo, entreprise française spécialisée dans les stations météorologiques connectées, a souhaité interrogé les habitants de différents pays développés afin d’évaluer leur perception de la qualité de l’air intérieur. Ainsi, 1 000 Américains et 1 500 Européens (Français, Allemands et Britanniques) ont été interrogés sur leur rapport à la qualité de l’air dans leur logement : comment l’évaluent-ils ? Savent-ils que la pollution est généralement plus importante à l’intérieur qu’à l’extérieur ? Connaissent-ils les bons gestes pour avoir une bonne qualité d’air chez soi ? Et seraient-ils prêts à les adopter ?
Que retenir de cette enquête ?
- La plupart des enquêtés, aux États-Unis (86%) comme en Europe (90%), ont le sentiment que l’air dans leur logement est de bonne qualité.
- Ils estiment d’ailleurs très majoritairement, à tort, que la qualité de l’air est en général meilleure à l’intérieur qu’à l’extérieur (69% aux États-Unis, 66% en Europe).
- Dans tous les pays, les habitants indiquent majoritairement se sentir mal informés sur la qualité de l’air dans leur logement, la manière de la mesurer et les gestes pour l’améliorer, en particulier au Royaume-Uni.
- La plupart adoptent pourtant déjà ou seraient prêts à adopter un des gestes les plus efficaces pour améliorer la qualité de l’air dans son logement : ouvrir les fenêtres dix minutes par jour. On remarque cependant que ce geste n’est pas toujours clairement identifié comme le seul véritablement efficace : en effet, les Américains jugent plus utiles un ménage régulier (95%) et l’utilisation de produits d’entretien spécifiques (84%) et si les Européens le place en tête des « bons gestes » (95%), ils placent également dans le trio de tête le ménage régulier (88%) dont l’efficacité est moins avérée.
- Seule une minorité indique avoir entendu parler des appareils permettant de mesurer la qualité de l’air dans son logement : 42%, dont 14% voyant précisément ce dont il s’agit aux États-Unis et 38% dont 5% voyant précisément ce dont il s’agit en Europe. Ce type d’appareil intéresserait pourtant près de huit Américains sur dix (77%) et un Européen sur deux (49%).
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