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Jusqu’où aller pour être plus belle ? Sondage Harris Interactive pour Top Santé

Jusqu’où aller pour être plus belle ?

 

Etre belle, c’est avant tout, pour l’ensemble des Françaises, être bien dans sa peau… Mais pour être bien dans sa peau, il faut s’aimer physiquement.

Même si pour la totalité des femmes, être belle c’est avant tout être bien dans sa peau, le physique semble tenir une place importante. En effet, 96% des femmes assurent que pour se sentir belle, il faut également s’aimer physiquement et pour 80% il faut aussi affirmer des signes extérieurs de féminité (son corps, ses formes…).

 

4 femmes sur 10 ne se sentent pas belles…
Elles aimeraient changer en priorité leur ventre et leurs cuisses.

Près de 9 femmes sur 10 (87%) aimeraient changer quelque chose chez elles si elles en avaient la possibilité. En tête des parties de leur corps qu’elles souhaiteraient modifier, on trouve le ventre (64%), les cuisses (50%), les fesses (38%) puis les seins (37%).

Des envies différentes selon les âges. Les plus jeunes femmes (15-24 ans) préféreraient refaire leurs cuisses (63%) alors que les plus âgées (50 ans et plus) s’orienteraient davantage vers le ventre (69%).

Les femmes âgées de 25 à 34 ans sont plus nombreuses à se sentir belles : 67%. A l’inverse, cette perception diminue avec l’âge : 59% des femmes âgées de 35 à 49 ans se sentent belles et seulement 55% des femmes âgées de 50 ans et plus.

 

Intervenir sur le plan esthétique : perçu comme une obsession plutôt superficielle mais également à la mode et comme faisant partie de l’évolution de la société.
Avec pour principaux freins le prix, la peur ou l’envie de ne pas contrarier la nature.

Dans une société où le physique est important, les pratiques esthétiques semblent plutôt bien intégrées auprès des femmes : 74% déclarent que c’est à la mode et 61% que ça fait partie de l’évolution de la société. Pour autant, les interventions esthétiques font toujours peur (71% et surtout aux plus jeunes : 81% des 15-24 ans) et sont perçues comme étant chères.

En particulier, les principaux freins aux interventions de type antiâge sont :

  • le prix (48%),
  • le fait de ne pas contrarier la nature (47%),
  • les complications médicales (45%)

Des obstacles qui restent les mêmes pour les interventions de type transformation mais dans un ordre différent :

  • les complications médicales (53%) ressortent en 1ère crainte,
  • suivies du prix (52%),
  • et du fait de ne pas vouloir contrarier la nature (44%).

 

Une pratique de la chirurgie esthétique qui tendra peut-être à augmenter : en effet, plus de 6 jeunes femmes sur 10 (15-24 ans) évoquent comme « frein » à la chirurgie esthétique le fait que ce ne soit pas encore le moment, frein qui montre qu’elles ne rejettent pas ce genre de pratiques.

 

Des interventions de type anti-âge ou de type transformation encore peu développées mais pourtant envisagées par 45% des femmes.

Des craintes, plus un sentiment que la chirurgie/médecine esthétique demeure une obsession superficielle (75%) qui ne rebutent pas pour autant complètement les femmes puisque 45% d’entre elles envisagent d’avoir recours à ce type de procédés.

Dans le détail, les priorités des femmes en termes d’interventions esthétiques (antiâge ou transformation) porteraient sur l’épilation permanente (24%), le ventre (18%), une peau sans défaut (12%) et les seins (11%).

Les seins, une obsession renforcée chez les jeunes femmes : 19% des 15-24 ans envisageraient de les refaire prochainement.

Dans la pratique, 6% des femmes ont d’ailleurs déjà sauté le pas et ont eu recours à la chirurgie esthétique (opérations : lifting, liposuccions, silicone,…). A noter, une pratique de la chirurgie esthétique plus importante auprès des femmes de plus de 50 ans : 9%.

En ce qui concerne la médecine esthétique (technique anti-âge, injections, peeling…), seulement 4% des femmes ont déjà eu recours à ces méthodes.

Parmi les interventions de type anti-âge les plus adoptées, on retrouve l’épilation permanente pour 4% – également de la pratique la plus envisagée – et 2 % ont déjà utilisé des techniques qui permettent de retrouver une peau sans défauts (micro abrasion, peeling chimique…).

 

Pour la majorité des Françaises : une forte adhésion au fait que des hommes aient recours à la chirurgie ou à la médecine esthétique mais un rejet massif pour les mineures…

En effet, même si les femmes n’expérimentent encore qu’assez peu pour elles-mêmes ces méthodes esthétiques, elles trouvent tout à fait normal que les hommes y aient recours (73%). A contrario, la quasi-totalité des femmes (94%) restent choquées que la chirurgie esthétique puisse être accessible aux mineures.

 

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Méthodologie

Ce sondage a été réalisé en ligne par Harris Interactive pour le magazine Top Santé du 1 au 8 février 2010, auprès d’un échantillon de 1000 femmes représentatives de la population française, âgées de 15 ans et plus. Les répondantes ont été sélectionnées au sein de l’Access panel de Harris Interactive et gérées par quotas et redressements sur les critères d’âge, de région, et de catégorie socioprofessionnelle.

Merci de noter que toute diffusion de ces résultats doit être accompagnée d’éléments techniques tels que : la méthode d’enquête, les dates de réalisation, le nom de l’institut, le nom du magazine TOP SANTE, la taille de l’échantillon.

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