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Fêtes de fin d’année et achats de seconde main

Enquête Harris Interactive pour Oney Bank

Enquête Harris Interactive pour Oney, réalisée en ligne, du 24 au 26 novembre 2020, auprès d’un échantillon de 1 006 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle et région d’habitation de l’interviewé(e)

 

À la demande de Oney Bank, Harris Interactive a interrogé un échantillon représentatif de la population française sur leurs intentions d’achat pour la période des fêtes de fin d’année.

Comptent-ils plutôt augmenter ou réduire leurs dépenses par rapport à la même époque l’an dernier ? Dans quelles proportions et dans quels secteurs d’achat en particulier ? Auprès de quels types d’acteurs prévoient-ils de réaliser ces achats ? Dans quelle mesure envisagent-ils de recourir à des produits d’occasion ou reconditionnés ? Quelles sont les motivations du recours à ces produits de seconde main ?

 

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Que retenir de cette enquête ?

 

  • La tendance globale est à la baisse des dépenses pour ces fêtes de fin d’année par rapport aux précédentes. 52% des Français déclarent qu’il y a davantage de catégories où ils vont réduire leurs dépenses par rapport à l’an dernier à la même époque. Et 73% des Français ont même l’intention de réduire nettement (d’au moins 10%) le montant de leurs dépenses de fin d’année dans au moins une catégorie de produits. Cette baisse est particulièrement marquée dans le secteur du tourisme : rien que dans ce secteur, 51% des Français comptent réduire leurs dépenses par rapport à l’an dernier, dont 45% beaucoup.

 

  • Parmi ceux qui maintiennent des intentions d’achats pour les fêtes de fin d’année, le souhait se concentre sur 5 secteurs : l’alimentaire en premier lieu (89% comptent en acheter), mais aussi le bien-être/hygiène/cosmétique (73%), les loisirs et la culture (70%), les vêtements/chaussures/accessoires (68%) et la jouets ou produits pour enfants (67%). Sur ces secteurs les plus porteurs – comme d’ailleurs sur les autres –, les consommateurs ont l’intention de se tourner principalement soit vers des commerces de proximité, soit vers des grandes enseignes ou réseaux de magasin. Au total, ce sont 62% des Français qui déclarent privilégier l’achat au moins un produit dans un commerce de proximité, que ce soit physiquement ou en commande à emporter/livrer.

 

  • Parmi les acteurs 100% numériques, les « marketplaces » mettant à disposition des produits de multiples marques constituent un mode de recueil moins utilisé que les commerces de proximité ou que les grandes enseignes, mais aussi que les sites Internet de vente entre particuliers : ceux-ci concentrent 15% à 25% des intentions d’achat dans la plupart des domaines.

 

  • Dans un contexte de crise économique globale, les Français déclarent maintenir voire accentuer certains comportements économes. Qu’il s’agisse de privilégier des promotions (60% au moins autant, dont 25% renforçant leur comportement de l’an dernier) ou de définir un budget fixe (52%), comme l’an dernier (27%), davantage encore (17%) voire en s’imposant cette contrainte pour la première fois (8%). 26% des Français ont l’intention de privilégier des produits reconditionnés ou d’occasion, au moins autant que l’an dernier si ce n’est davantage. Pour chacun de ces comportements, la part de Français ayant l’intention de le faire moins que l’année passée est marginale : jamais supérieure à 6%.

 

  • À l’occasion des fêtes de fin d’année 2020, ce sont même 16% des Français qui déclarent qu’ils vont se tourner, pour la première fois cette année, vers des produits d’occasion ou reconditionnés. De façon générale, le recours à ce type de produits s’avère plus fréquent chez les jeunes et les profils plus diplômés. Auprès des profils actifs sur ce marché de l’occasion, le total moyen d’achat sur l’année 2020 s’élève à 255€, quand le total moyen de recettes monte à 206€. Les comportements économes de façon générale sont davantage déclarés par les CSP-, mais le fait d’acheter/revendre des gros montants de produits d’occasion est logiquement une pratique plus souvent associée à des hauts revenus.

 

  • Enfin, la motivation principale de l’achat d’un produit d’occasion reste le prix réduit (86% prioritaire), mais l’aspect éco-responsable (78%) et l’opportunité de monter en gamme (77%) constituent néanmoins des motivations secondaires non négligeables. Et particulièrement auprès des profils les plus jeunes, qui sont près de la moitié à qualifier ces deux dernières motivations de « tout à fait prioritaire ».

 

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